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Aïcha, écoute-moi, tabernacle!

15 mars 2018, 00:01
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Cinéaste d’origine suisse émigrée au Québec, Léa Pool n’a pas son pareil pour mettre en scène des personnages féminins à la fois forts et fragiles dans des fictions intimistes. Après «La dernière fugue», où elle abordait la problématique de l’assistance au suicide, et «La passion d’Augustine», sur la lutte de la directrice d’un couvent au Canada, la réalisatrice nous revient avec «Et au pire, on se mariera», l’adaptation du roman homonyme de l’écrivaine franco-québécoise Sophie Bienvenu.

Fantasmes de l’adolescence

A 14 ans, Aïcha traverse une adolescence tourmentée. Se sentant incomprise, elle mène la vie dure à sa mère et n’arrive pas à lui pardonner sa rupture avec son beau-père. Lorsqu’elle croise la route de Baz, un musicien deux fois plus âgé qu’elle, elle tombe éperdument amoureuse… A travers le point de vue de cette jeune fille pleine de vivacité et au caractère bien trempé, Léa Pool nous conte une histoire...

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