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Littérature: Jonathan Coe raconte le déclin d’un monstre du cinéma

L’écrivain «so british» revient avec un roman original et délicat sur le cinéaste Billy Wilder, son film «Fedora», son humour mordant et sa relation avec l’Allemagne. Une tragédie irrésistible.

17 mai 2021, 20:00
Pour son dernier livre, "Billy Wilder et moi", Jonathan Coe quitte l'Angleterre.

Des satires brillantes et jubilatoires de l’Angleterre, du thatchérisme au Brexit, voilà les romans de Jonathan Coe. Pour son dernier livre, il sort un peu de son pays. «Billy Wilder et moi» commence par le quotidien de Calista, un personnage fictif de mère de famille menacée par le syndrome du nid vide et compositrice de musique de cinéma sur le déclin. Alors qu’une de ses filles part pour l’Australie et qu’elle doit prétendre s’en réjouir, elle se rappelle son propre voyage de trois semaines aux Etats-Unis à l’âge de 21 ans, où elle a fait une rencontre qui a changé sa vie.

Une rencontre improbable

Avec humour, Jonathan Coe raconte comment sa jeune et naïve narratrice se retrouve totalement par hasard à la table du monstre du cinéma Billy Wilder dans un bon restaurant de Los Angeles et parvient à faire bonne figure. Elle ne sait rien de lui, mais...

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