La solitude n’est pas une et indivisible. Les situations concrètes montrent une diversité des solitudes auxquelles une journée mondiale, le 23 janvier, est dédiée. Définie comme un sentiment, la solitude n’est pas une maladie en soi. Au mieux, est-elle choisie. En revanche, lorsqu’elle est subie comme conséquence de circonstances sociales, familiales ou psychiques, elle occasionne une douleur morale qui affecte le bien-être, voire la santé. Le vécu de la solitude est commun à toute l’humanité, ce qui permet de se comprendre et de s’entraider. Voici 6 moyens d’y faire face.
1. La psychothérapie
L’expérience de la solitude commence dès l’enfance, lorsque nous comprenons que les autres ne vont pas répondre à tous nos besoins. «Tout le monde doit apprendre à gérer sa solitude. Elle devient une souffrance, c’est-à-dire une douleur morale, lorsqu’elle provoque un inconfort durable», explique Catherine Léchaire, psychiatre psychothérapeute à Morges. Certaines personnes choisissent la solitude pour rompre...