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Les excuses bidons pour ne pas aller travailler

L'hiver approchant, les salariés vont invoquer tout une série d'excuses pour rester au lit. Du traditionnel arrêt maladie à la douloureuse morsure d'oiseau, les salariés ne manquent pas d'imagination pour justifier leur absence.

15 oct. 2012, 19:50
Allergies. Les pollens refont leur apparition entra?nant avec eux ?ternuements, d?mangeaisons et autres d?sagr?ments.

DR

En matière d'arrêt de travail, les entreprises en entendent des vertes et des pas mûres.

Officiellement, le salarié décroche son téléphone et annonce une fièvre de cheval, de violents maux de tête et un rhume carabiné! Il n'y a pas à redire, notre malheureux collègue doit rester au fond de son lit... Le pauvre!
 
Mais que cache officieusement sa maladie? Une furieuse envie de regarder les derniers épisodes de Dexter? Une crise de flemmardise aigue? Une journée à courir les soldes?
 
C'est fort possible, puisque seuls 30% des salariés qui déclarant être malades, le sont vraiment, annonce une enquête menée par Careerbuilder aux Etats-Unis.
 
Le bluff de la grippe
 
Pour ceux qui invoquent la grippe comme couverture, 34% ont en fait aucune envie d'aller travailler, 29% ont envie de se reposer, 22% peuvent prendre un rendez-vous chez le médecin ou un spécialiste, 16% peuvent se rendormir tranquillement et 15% peuvent aller faire du shopping.
 
Des excuses, toujours des excuses
 
Certains salariés font preuve de plus de créativité pour informer leur patron de leur absence. Ils invoquent la panne de voiture, l'oubli du jour de début de leur nouvelle fonction, la dépression nerveuse d'un animal de compagnie, le cœur brisé ou l'enterrement d'un proche.
 
La palme de l'originalité revient à une employée qui a déclarée s'être fait mordre par un oiseau ou un autre qui est tombé malade parce qu'il a trop lu ou une autre qui a eu les cheveux orange après avoir fait sa teinture elle-même.
 
Décembre et juillet ont le record de l'arrêt maladie
 
31% des employeurs constatent une augmentation du taux d’absentéisme pendant la saison hivernale. Pour 20% d’entre eux, le mois de décembre obtient le record d’arrêts, suivi de près par juillet. Viennent  ensuite les mois de janvier et février.
 
L'enquête a été menée par le site Careerbuilder en septembre 2012 auprès de 2'500 recruteurs et 4'000 employés américains âgés de 18 ans et plus.
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