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Les nanoparticules stressent les cellules, mais elles ne les tuent pas forcément

Risques et opportunités sont soigneusement étudiés en Suisse. Exemple à l'EPFL.

08 avr. 2013, 00:01
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Blanchâtre, légèrement teintée de bleue. Lorsqu'une orange passe l'arme à gauche, rien de plus facile à voir. La couleur du fruit ne trompe pas. Mais lorsque l'on parle des derniers instants d'un organisme 100 fois plus petit qu'un cheveu, une algue unicellulaire par exemple, il faut plus qu'un simple coup d'oeil, et même plus qu'une très grosse loupe pour poser un diagnostic. Et c'est bien tout l'intérêt des recherches menées par l'équipe d'Olivier Martin, à l'EPFL. Un projet intégré au Programme national de recherche sur les risques et les opportunités liés aux nanomatériaux de synthèse. En développant un outil capable de déceler les signaux de détresse, voire d'agonie, d'une minuscule cellule, les scientifiques planchent sur un moyen "simple" de déterminer si un nanomatériau est dangereux ou non pour l'environnement, et par extension pour l'homme.

L'homme qui ne peut d'ores et déjà plus se passer de ces nanotechnologies qui ont envahi...

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