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Limiter les séquelles d’un AVC

Les attaques cérébrales ne sont pas toujours fatales mais représentent, dans tous les cas, une urgence absolue.

25 avr. 2017, 23:45
/ Màj. le 26 avr. 2017 à 00:01
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anne devaux

anne.devaux@lacote.ch

L’accident vasculaire cérébral (AVC) occupe la troisième place des causes de mortalité en Suisse et représente le premier facteur de handicap. Au-delà des statistiques, les AVC entraînent une grande diversité de cas de figure pour ceux qui n’en meurent pas. En fonction des lésions, un champ de possibilités détermine l’avenir des patients, du rétablissement sans aucune séquelle au handicap lourd et irréversible. Une partie du pronostic dépend de la rapidité de l’intervention médicale.

L’AVC est un événement subit et aigu dont la cause est en majorité l’obstruction d’un vaisseau sanguin par un caillot de sang. Plus rarement, une hémorragie cérébrale provoquée par la déchirure d’un vaisseau dans le cerveau laisse le sang se répandre dans le tissu cérébral. Les conséquences d’un AVC dépendent de la zone atteinte, superficielle et/ou profonde de l’hémisphère gauche ou droit, du cervelet ou du tronc cérébral.

Le cerveau guérisseur

L’AVC touche une...

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