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«Muscler» son cerveau, fausse promesse ou vraie tromperie?

Le domaine de la gymnastique cérébrale se porte bien et pour cause, la peur de perdre ses capacités cognitives pousse un jour ou l’autre à tester quelques exercices. Le point avec trois scientifiques.

05 mars 2019, 12:06
La gymnastique cérébrale a le vent en poupe.

Le cerveau est un outil qui ne travaille pas sans but. Et la pléthore de propositions pour parvenir à le «muscler» montre l’intérêt que suscite le sujet auprès du grand public. S’entraîner à augmenter ses capacités, à acquérir de nouvelles connaissances, et à les utiliser renforce la plasticité cérébrale dont dépend notre agilité cognitive.

L’activité cérébrale se fait grâce aux neurones qui stockent les informations et leurs terminaisons, les synapses, qui forment des zones d’échange d’informations entre deux neurones. La plasticité cérébrale se mesure par la capacité du cerveau à remanier et restructurer ses connexions en fonction de l’environnement et des expériences personnelles. Un cerveau fit s’adapte en permanence.

Le cerveau, un ami farceur

«Muscler» son cerveau ne signifie pas grand-chose selon Alexandre Pinault, docteur en neurosciences et cofondateur de l’association Neuracademia à Lausanne. Mais il admet que «rendez votre cerveau plus mobile» est moins vendeur, or il s’agit bien...

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