Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Un mal sournois et dévastateur

Cette maladie féminine déprécie la qualité de vie physique et psychologique.

14 mars 2017, 23:03
/ Màj. le 15 mars 2017 à 00:01
DATA_ART_11012320

anne devaux

anne.devaux@lacote.ch

Maladie hormono-dépendante et chronique, l’endométriose touche entre 10 et 15% des femmes en Europe. L’une peut présenter une endométriose très avancée sans en souffrir et une autre peut être légèrement atteinte mais handicapée par des douleurs invalidantes.

Dans l’état actuel de la science, cette pathologie à évolution lente peut être stoppée grâce à des traitements chirurgicaux et médicamenteux. Cependant, pour soigner les patientes le plus rapidement possible, l’étape du diagnostic doit encore progresser. A ce propos, le Dr Jean-Marie Wenger, chirurgien en gynécologie et spécialiste de l’endométriose, précise qu’«en 2009, la moyenne pour poser un diagnostic d’endométriose était de douze ans. Aujourd’hui, elle est de six à sept ans, en fonction des endroits et des connaissances des médecins dans ce domaine.» Ce délai s’explique par la multiplicité des symptômes et des organes touchés.

Toile d’araignée invisible

Quand tout va bien, la couche de tissu appelée...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias