Un jeune homme est retrouvé mort dans un appartement qui appartenait, à son insu, au richissime détective Matteo Di Genaro. C’est le fils de François de Fidos, un politicien populiste. Léa, fille d’un collègue ami et petit génie insolent de 9 ans, aide Matteo à retrouver le meurtrier. L’enquête est le prétexte à des réflexions sur la propriété, la spéculation immobilière et la sexualité, le tout sur un ton libre et provocant, et un narrateur qui interpelle plaisamment son lecteur.
Vous n’avez pas commencé l’écriture par des polars. Comment ça s’est-il passé?
Avec la rencontre de Giuseppe Merrone, qui a créé les Editions BSN qui devaient être centrées sur le roman noir. Il a eu l’idée de demander à des gens d’ici d’écrire des nouvelles, ce qui a donné le livre «Léman noir», auquel je n’ai pas participé. Et c’est ma non-participation qui m’a motivé. Chaque fois que je...