LE CONTEXTE
Au moins 72 morts et 170 personnes blessées dans l’attaque chimique présumée, survenue mardi matin à Khan Cheikhoun, dans la province d’Idleb. Alors que plusieurs pays occidentaux ont accusé Damas d’être à l’origine de cette frappe, la Russie a volé au secours de son allié syrien.
Les faits
Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), Au moins 72 personnes sont mortes mardi matin dans une attaque chimique présumée dans la ville rebelle de Khan Cheikhoun, dans la province d’Idleb, en Syrie et 170 autres ont été blessées. Au moins 20 enfants et 17 femmes font partie des victimes, selon l’OSDH. Un bilan «provisoire», indique l’Observatoire, qui explique que des personnes sont toujours portées «disparues».
Sur place, les médecins ont constaté que les symptômes relevés sur les patients sont similaires à ceux constatés sur des victimes d’une attaque chimique, notamment avec des pupilles dilatées, des convulsions et de...