Trente-deux morts, 324 blessés. Différentes cérémonies seront organisées, aujourd’hui à Bruxelles, en souvenir des victimes des attentats meurtriers dont la capitale de l’Europe a été frappée le 22 mars 2016, il y a un an exactement. Ils ont laissé des traces, indélébiles.
7h58, dans le hall des départs de l’aéroport international de Zaventem, situé dans la périphérie flamande de Bruxelles. Coup sur coup, Ibrahim El Bakraoui et Najim Laachraoui déclenchent la charge explosive qu’ils portent sur eux. 9h11, dans la station de métro bruxelloise de Maelbeek, située à un jet de pierres du quartier européen de la capitale belge. Khalid El Balkraoui, le frère d’Ibrahim, déclenche à son tour une bombe. Bilan total: 32 morts, plus de 320 blessés. Les kamikazes ont tous grandi en Belgique. Leur commanditaire serait Oussama Atar, dit «Abou Ahmed», un Belgo-Marocain parti combattre en Syrie.
Deux terroristes, présents à Zaventem et à Maelbeek, renoncent à...