Les statues de l’amiral Nelson à Trafalgar Square, de l’Eros de Piccadilly Circus et même du footballeur Thierry Henry devant le stade d’Arsenal se sont réveillées lundi avec un masque sur le nez à Londres.
Dix-sept monuments de la capitale britannique étaient visés par les activistes de Greenpeace. Au total, huit personnes ont été interpellées sur les différents sites, selon Scotland Yard. Greenpeace a voulu mettre l’accent sur «la pollution de l’air qui tue prématurément 40 000 personnes par an au Royaume-Uni dont 10 000 à Londres», selon une militante de l’ONG. ats