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Dominique Strauss-Kahn demande la levée de son contrôle judiciaire

Dominique Strauss-Kahn a demandé ce mercredi à la cour d'appel de Douai, dans le nord de la France, la levée du contrôle judiciaire auquel il est soumis dans le cadres de poursuites pour proxénétisme. DSK a par exemple l'interdiction de parler aux victimes, aux parties civiles, aux témoins et à la presse.

23 mai 2012, 15:08
Dominique Strauss-Kahn risque la cour d'assises pour «proxénétisme  aggravé en bande organisée», des faits passibles de 20 ans de réclusion criminelle.

L'ancien patron du Fonds monétaire international a également  l'obligation de répondre aux convocations des juges et des experts,  psychiatriques et psychologiques notamment. Il a également dû verser  une caution après avoir été mis en examen en mars pour «proxénétisme  aggravé en bande organisée».

Présent à l'audience, DSK s'est brièvement adressé aux magistrats  avec ses avocats. Tous ont insisté sur l'incongruité que constitue à  leurs yeux l'interdiction de parler à la presse. «Nous avons soutenu  que cela ne faisait pas partie des mesures prévues par les textes et  que cela contrevenait aux principes fondamentaux comme la liberté  d'expression», a expliqué à Reuters Me Richard Malka.

Après une audience à huis clos, la chambre de l'instruction a mis  sa décision en délibéré au 30 mai.

Dominique Strauss-Kahn risque la cour d'assises pour «proxénétisme  aggravé en bande organisée», des faits passibles de 20 ans de réclusion criminelle. Le parquet de Lille a aussi annoncé lundi  l'ouverture d'une enquête préliminaire sur des faits qui pourraient  être qualifiés de «viol en réunion» impliquant l'ancien patron du  FMI.
 

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