Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

EDF adopte le principe de fermeture

Le processus a été engagé, hier, par un accord avec l’Etat français, mais il devra encore être confirmé par le prochain président de la République.

24 janv. 2017, 23:51
/ Màj. le 25 janv. 2017 à 00:01
A man looks at the reactor tower that is being sprayed with cold water at the nuclear plant of Fessenheim, eastern France, Monday, 04 August 2003. The measure was taken in order to keep the temperatures inside the building at a normal level despite the heat wave sweeping the country. The initiative is part of a series of test of cooling techniques going on since Friday, but officials at the plant are unable to say whether it works. (KEYSTONE/EPA/SIPA/CHRISTIAN HARTMANN) FRANCE NUCLEAR WEATHER

C’était l’une des promesses phares de la campagne de François Hollande, faite dans la foulée de la catastrophe de Fukushima, en 2011: la fermeture de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin). Le processus a connu une avancée considérable, hier, avec la signature par l’énergéticien EDF, exploitant du parc nucléaire hexagonal, d’un accord avec l’Etat, validant le principe d’une fermeture de Fessenheim à l’horizon 2018, en échange d’une indemnisation de 446 millions d’euros (479 millions de francs) pour l’entreprise.

Sur les douze représentants du conseil d’administration d’EDF, six ont voté contre – les représentants des salariés – tandis que six ont voté pour. La voix du PDG du groupe, Jean-Bernard Lévy, déterminante en la matière, a fait pencher la balance en faveur d’un accord.

La fermeture de Fessenheim répond à deux préoccupations: réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité française, d’abord, éviter de prendre le moindre risque en matière de...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias