Votre publicité ici avec IMPACT_medias

Etats-Unis: Trump annonce une plainte contre Facebook, Twitter et Google

Donald Trump a lancé une plainte collective contre Facebook, Twitter et Google pour censure illégale. L’ancien président des Etats-Unis avait été banni des réseaux sociaux, notamment après l’assaut du Capitole.

07 juil. 2021, 19:07
"Google et YouTube ont effacé d'innombrables vidéos qui osaient mettre en doute le jugement de l'Organisation mondiale de la santé" pendant la pandémie, a également expliqué Trump mercredi.

Evincé des grands réseaux sociaux depuis l’assaut du Capitole, l’ex-président américain Donald Trump a annoncé mercredi qu’il lançait une plainte collective contre Facebook, Twitter, Google et leurs patrons, en les accusant de «censure illégale, inconstitutionnelle».

«Aujourd’hui, aux côtés de l’America First Policy Institute», une organisation qui promeut les politiques défendant «l’Amérique d’abord» de Donald Trump, «je dépose, en tant que principal représentant, une action collective majeure en justice contre les géants de la tech comprenant Facebook, Google et Twitter, ainsi que leurs patrons Mark Zuckerberg, Sundar Pichai et Jack Dorsey», a annoncé le milliardaire dans son club de golf de Bedminster, dans le New Jersey.

 

 

Ces trois patrons «mettent en oeuvre une censure illégale, inconstitutionnelle», a-t-il affirmé lors d’un discours formel, derrière un podium où son nom était inscrit. Les spectateurs ont applaudi son annonce.

«Nous demandons au tribunal fédéral du district sud de la Floride d’ordonner l’arrêt immédiat de la censure illégale et honteuse de la part des groupes de réseaux sociaux visant les Américains», a-t-il expliqué. «Nous exigeons (…) la fin du silence forcé».

«Il n’y a pas de meilleure preuve que la Big Tech est hors de contrôle que le fait qu’ils ont interdit le président des Etats-Unis en fonction» sur leurs plateformes, a-t-il martelé.

Ces trois patrons mettent en oeuvre une censure illégale, inconstitutionnelle.
Donald Trump, ancien président des Etats-Unis

«S’ils peuvent me le faire à moi, ils peuvent le faire à n’importe qui. Et d’ailleurs c’est exactement ce qu’ils font», a-t-il affirmé en donnant la parole à des citoyens se disant aussi victimes d’interdictions.«Nous sommes engagés dans un combat que nous allons gagner», a-t-il promis.

 

Votre publicité ici avec IMPACT_medias