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Frères de sang et frères en djihad

Selon plusieurs experts, les cellules djihadistes comportent de nombreuses fratries. Dernière en date, celle des frères El Bakraoui.

23 mars 2016, 23:59
/ Màj. le 24 mars 2016 à 00:01
epa05227575 An handout picture made available by Interpol on 23 March 2016 of Brahim El Bakraoui at an unspecified location. Belgian broadcaster RTBF reported on 23 March 2016 that two brothers Khalid and Brahim el-Bakraoui have been identified by Belgian police as the suspected suicide bombers of the Brussels attacks. One of them, Khalid had rented an apartment using a false name in the Brussels neighborhood of Forest, where police killed a gunman in a shootout last week. The attacks at the main airport and in the metro in Brussels killed 34 people and wounded nearly 200 on Tuesday.  EPA/INTERPOL / HANDOUT BEST QUALITY AVAILABLE HANDOUT EDITORIAL USE ONLY/NO SALES FRANCE BELGIUM BRUSSELS ATTACKS

Qu’il s’agisse de partir en Syrie ou de passer à l’action violente au nom de l’islam, comme à Bruxelles mardi et Paris en 2015, les cellules djihadistes comportent de nombreuses fratries. Pour des motifs logiques et tactiques, selon psychiatres et psychologues spécialisés. Les frères Khalid et Ibrahim El Bakraoui à Bruxelles mardi, les frères Merah en 2012 à Toulouse dans le sud-est de la France, les frères Kouachi lors de l’attaque contre «Charlie Hebdo» à Paris, les frères Tsarnaev qui ont monté l’attentat à la bombe contre le Marathon de Boston en 2013: au cours des dernières années, de nombreux frères de sang sont devenus frères d’armes pour semer la terreur chez ceux qu’ils considèrent être des «ennemis de l’islam».

Et dans les listes de procédures judiciaires ouvertes, notamment en France et en Belgique, pour cause de départ ou de retour de zones tenues par le groupe Etat islamique en...

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