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L’homme qui veut être aimé

24 avr. 2017, 23:35
/ Màj. le 25 avr. 2017 à 00:01
FILE - In this Sunday April 23, 2017 file photo, French centrist presidential candidate Emmanuel Macron waves before addressing his supporters at his election day headquarters in Paris. They could hardly be more different: Pro-European centrist Emmanuel Macron is facing anti-immigration, anti-EU Marine Le Pen in France’s presidential runoff May 7. (AP Photo/Thibault Camus, file) France Election Macron vs Le Pen

Cela n’a pas manqué. Dimanche soir, dès l’annonce des résultats du premier tour de scrutin, un «front républicain» est réapparu tel le phénix du 21 avril 2002. Une année où Jean-Marie Le Pen se qualifia pour le second tour de la présidentielle. Les principaux rivaux de Macron, sauf exception, se sont aussitôt ralliés au candidat d’En marche. Ceci sans parler de personnalités de poids (dont Juppé, Baroin, Estrosi, etc.), y compris François Hollande, qui ont suivi la marche à suivre, si l’on peut dire, après tant d’autres de gauche comme de droite.

Mais au-delà des cercles politiques, cette «macromania» touche différents milieux (économique, culturel, européen, etc.). De quoi attirer des critiques acerbes sur le côté attrape-tout, sur le flou du programme et le manque présumé de convictions du désormais favori. En résumé: pourquoi l’homme séduit-il aussi largement? Décryptage.

«Je suis un pur produit de la méritocratie française.» Emmanuel Macron répète...

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