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L’ultime stratégie anti-Trump lancée au sein même du Parti républicain

Malgré sa marche triomphale et ses cinq victoires dans le nord-est mardi, Donald Trump n’est assuré de rien. Après pareille déchirure, il est vraiment difficile d’imaginer une convention républicaine apaisée.

27 avr. 2016, 23:21
/ Màj. le 28 avr. 2016 à 00:01
Republican presidential candidate Donald Trump speaks during a primary night news conference, Tuesday, April 26, 2016, in New York. (AP Photo/Julie Jacobson) GOP 2016 Trump

«Je me considère comme le candidat naturel.» Après son nouveau triomphe de mardi (cinq victoires sur cinq lors des primaires en Pennsylvanie, dans le Maryland, le Connecticut, le Delaware et le Rhode Island), Donald Trump appelle plus que jamais ses deux rivaux à jeter le gant avant les dernières grosses échéances (Californie et New Jersey en particulier) de début juin. Une intimation vouée à l’échec, puisque Ted Cruz et John Kasich viennent de signer un pacte de non-agression entre eux – jugé trop tardif par les analystes –, afin de faire front commun et barrer la route de Cleveland au magnat de l’immobilier.

Objectif: empêcher par tous les moyens que ce dernier atteigne la barre des 1237 délégués (il en a déjà environ 950), soit une majorité absolue avant la convention républicaine de juillet. Or, en cas de non-majorité d’un candidat à l’investiture lors du premier tour à Cleveland, les...

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