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La partition ambiguë d'Israël en Syrie

L'Etat hébreu dit ne pas prendre position, mais est accusé d'avoir conduit des frappes.

09 déc. 2014, 00:01
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En novembre 2013, l'un des plus hauts responsables israéliens excluait également toute intervention directe en Syrie, mais confiait, sous le couvert de l'anonymat, son espoir de voir émerger une force modérée au sein de l'opposition. "La victoire d'Assad signerait en fait le triomphe de l'Iran", s'inquiétait-il. "De l'autre côté, nous connaissons les intentions de certains groupes rebelles liés à Al-Qaïda. C'est pourquoi nous explorons la possibilité d'une autre voie pour mettre un terme à la tragédie syrienne, même si je ne suis pas certain qu'il soit pertinent d'en parler publiquement à ce stade."

Un an plus tard, Israël s'applique plus que jamais à rester à l'écart du conflit syrien, mais les attaques du Hezbollah visent régulièrement des soldats de Tsahal sur le plateau du Golan. Et une partie des commentateurs souligne que les raids en territoire syrien ne sont pas sans danger. "Les militaires estiment sans doute que Bachar el-Assad...

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