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«La reconstruction a trop tardé»

24 avr. 2016, 23:43
/ Màj. le 25 avr. 2016 à 00:01
epa05247234 (02/45) A mother carries her son on a basket after a snowfall outside the shelter for earthquake victims in Gupsipakha, Laprak, Gorkha district, Nepal, 17 January 2016. Laprak was one of the epicenter villages of the April 2015 earthquake where more than 600 hundred houses were destroyed. Millions of Nepalese are still struggling with the harsh reality of 25 April 2015 when a 7.9-magnitude earthquake struck the nation. It killed more than 9,000 people, injured at least 23,000, wiped out 200,000 homes, 20,000 schools and destroyed more than 700 monuments.  EPA/NARENDRA SHRESTHA PLEASE REFER TO ADVISORY NOTICE (epa05247232) FOR FULL FEATURE TEXT NEPAL FEATURE PACKAGE REBUILDING AFTER EARTHQUAKE

Kessava Packiry

Alors que le bilan du séisme en Equateur ne cesse de s’alourdir (plus de 650 morts et 16 600 blessés), personne n’a oublié qu’il y a exactement un an, un puissant tremblement de terre, suivi d’une violente réplique le 12 mai, frappait le Népal. Bilan: 9000 morts et 17 000 blessés. Le pays, à genoux, devait alors faire face à 8 millions des personnes en détresse (dont 2,8 millions de sans-abri). Plus de 500 000 maisons ont été détruites et 270 000 endommagées, dont des milliers d’écoles et établissements sanitaires en ruine.

Un an après, le constat que dressent la plupart des organisations non gouvernementales (ONG) est sévère: la reconstruction tarde, et on dénombre toujours plus de 600 000 familles qui vivent dans des abris temporaires. «Nous avons perdu beaucoup trop de temps», déplore la directrice des programmes de Handicap International au Népal, Sarah Blin.

L’argent est...

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