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La tique plus forte que l’ours polaire

Les changements climatiques permettent aux mouches et blattes de proliférer, contrairement à d’autres espèces.

29 déc. 2015, 23:56
/ Màj. le 30 déc. 2015 à 00:01
A polar bear (Ursus maritimus) and her cub rest on an iceberg in the Arctic Ocean, Canada.

info@lacote.ch

Depuis le début des relevés de températures, 2015 a clairement été l’année la plus chaude, suivie par 2014. Lorsque le mercure grimpe, moustiques, mouches et autres tiques conquièrent de nouveaux habitats: même en Suisse, ces gagnants de l’année nous donnent du fil à retordre, selon un communiqué du WWF, dont le siège se trouve à Gland. Mais le réchauffement de la planète fait également de grands perdants: outre les ours polaires, les tortues marines, les rhododendrons des Alpes ou les sapins rouges doivent se battre pour survivre.

Aujourd’hui, les changements climatiques se font déjà sentir: le futur est en marche. Pourtant, certains animaux – plutôt impopulaires – profitent de l’augmentation des températures et de la douceur de l’hiver, qui leur permettent d’étendre leur aire de répartition.

Le rhododendron des Alpes: si la température moyenne de la planète gagne deux degrés d’ici la fin de ce siècle, celle de la...

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