Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La Turquie et l’UE tentent de recoller les morceaux

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a réclamé hier un soutien accru à ses alliés de l’Otan et de l’Union européenne, malgré les critiques qu’il a suscitées en déclenchant une nouvelle crise des migrants.

10 mars 2020, 00:01
DATA_ART_13414635

L’heure de la détente a-t-elle sonné, entre la Turquie et l’Union européenne? Alors que le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a été reçu hier soir par les dirigeants du Conseil européen et de la Commission européenne, Charles Michel et Ursula von der Leyen, cinq Etats membres du club communautaire – l’Allemagne, la France, le Portugal, la Finlande et le Luxembourg – se sont dit prêts à prendre en charge quelque 1500 jeunes migrants qui végètent sur les îles grecques.

La réunion d’hier soir ne devait marquer «que le début» d’un processus visant à «relancer le dialogue» entre la Turquie et les Européens, a souligné Ursula von der Leyen, dans la journée. Il est au point mort depuis que la Turquie, qui abrite plus de 3,7 millions de réfugiés, a décidé de rouvrir en partie les vannes de l’immigration vers l’Union, le 29 février. Des dizaines de milliers de migrants...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias