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Le gouvernement israélien fragilisé par l'extrême droite sioniste

Trois des six suspects arrêtés dimanche ont reconnu avoir tué le jeune Palestinien.

08 juil. 2014, 00:01
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La "honte" , un "cauchemar" , un "crime diabolique" : les médias et les dirigeants israéliens n'avaient pas de mots assez durs hier pour dénoncer les six Israéliens accusés d'avoir enlevé à Jérusalem puis brûlé vif, mardi dernier, Mohammed Abou Kheider, un Palestinien de 16 ans pour venger l'assassinat en Cisjordanie de trois jeunes Israéliens dont les corps ont été retrouvés la semaine dernière. "On s'achemine vers le pire scénario d'une guerre tribale" , s'inquiète un commentateur du quotidien "Maariv".

Fait exceptionnel, Benyamin Nétanyahou a téléphoné au père de la victime afin de l'assurer que les meurtriers seront "jugés et condamnés avec toute la sévérité prévue par la loi". Le premier ministre voulait ainsi exprimer son indignation et tenter de calmer les esprits parmi les Palestiniens de Jérusalem et les Arabes israéliens dans le nord du pays, qui continuent à manifester parfois violemment pour dénoncer ce crime.

Les autorités imposent...

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