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Le sort de Bachar divise les ennemis de l’Etat islamique

Russes et Américains vont avoir des discussions tactiques pour coordonner des opérations militaires.

29 sept. 2015, 23:19
/ Màj. le 30 sept. 2015 à 00:01
epa04955286 A handout picture provided by the United Nations (UN) on 29 September 2015 shows US President Barack Obama (L) and his Russian counterpart Vladimir Putin (R) sharing a toast at a luncheon hosted by UN Secretary-General Ban Ki-moon (not pictured) in honor of world leaders attending the general debate of the General Assembly, in New York, New York, USA, 28 September 2015.  EPA/UNITED NATIONS/AMANDA VOISARD ALTERNATIVE CROP HANDOUT EDITORIAL USE ONLY/NO SALES USA RUSSIA UN LUNCHEON

Beaucoup de bruit pour rien? L’Assemblée générale de l’ONU aura en tout cas, sur le dossier syrien, produit des résultats assez décevants. Certes, les Etats-Unis et la Russie ont annoncé l’ouverture de contacts militaires, destinés à éviter tout conflit entre eux pendant d’éventuelles opérations sur le terrain. La décision était rendue indispensable depuis le renforcement militaire décidé par Moscou, qui pourrait se traduire un jour par l’envoi de bombardiers russes dans le ciel syrien, où volent déjà les avions de la coalition, notamment ceux des Etats-Unis.

Les deux anciens ennemis de la Guerre froide se sont aussi mis d’accord pour poursuivre les discussions politiques visant à trouver une porte de sortie à la crise syrienne. Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, et son homologue russe, Sergueï Lavrov, se rencontreront dès aujourd’hui pour évoquer la transition en Syrie et la lutte contre l’Etat islamique, leur seul objectif commun dans la région....

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