Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Le torchon brûle entre la Turquie et l’UE

Ankara réplique à la chancelière allemande, Angela Merkel, qui veut mettre un terme à ses négociations d’adhésion à l’Union européenne.

05 sept. 2017, 00:18
DATA_ART_11480537

Ankara a vilipendé l’Allemagne, hier, après que la chancelière Angela Merkel s’est prononcée en faveur d’une rupture des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Une idée qui ne fait pas l’unanimité, tant s’en faut, dans l’Union européenne.

«Il est évident que la Turquie ne doit pas devenir membre de l’UE», a déclaré, dimanche soir, la dirigeante conservatrice, lors du débat électoral qui l’a opposée à son rival social-démocrate, Martin Schulz. «Je discuterai avec mes collègues de l’Union européenne pour voir si nous pouvons parvenir à une position commune, afin que nous puissions mettre un terme à ces négociations d’adhésion» avec Ankara, lancées dans la douleur en 2005.

Dans le passé, Angela Merkel avait déjà donné publiquement la préférence à l’établissement d’un «partenariat privilégié» entre l’UE et la Turquie, plutôt qu’à l’entrée d’Ankara dans le club communautaire. Mais c’est la toute première fois qu’elle s’est clairement exprimée en faveur...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias