Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Les casseroles d’Angela Merkel

03 sept. 2017, 23:18
/ Màj. le 04 sept. 2017 à 00:01
epa06181584 German Chancellor Angela Merkel (2-R) smiles next to her office manager Beate Baumann (L), during her arrival to the TV debate with Martin Schulz, Chancellor candidate and leader of the Social Democartic Party (SPD), in front of the TV studio in Berlin, Germany, 03 September 2017. German federal elections will be held on 24 September 2017.  EPA/CARSTEN KOALL GERMANY ELECTIONS MERKEL SCHULTZ TV DEBATE

Le meilleur argument en faveur de la réélection d’Angela Merkel est sans nul doute la situation économique de l’Allemagne. Soutenue par des consommateurs optimistes, la croissance allemande est stable (1,9% attendu en 2017). Le chômage a été divisé par deux depuis son accession au pouvoir en 2005 (5,9%). Et la balance commerciale continue d’afficher des excédents insolents (253 milliards d’euros en 2016). «Sans compter les comptes publics qui devraient afficher un solde positif de 20 à 30 milliards d’euros à la fin de l’année», rappelle Marcel Fratzscher, président de l’Institut de l’économie allemande à Berlin (DIW). Ajoutez à cela un style politique pragmatique et sans paillettes, et une présence internationale qui avait amené Barack Obama à la désigner comme «leader du monde libre».

Résultat, à trois semaines de l’élection, son parti recueille entre 38% et 40% des intentions de vote, soit près de 15 points de mieux que...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias