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Londres: après l’unité, la colère

06 juin 2017, 00:14
People queue to lay flowers after a vigil for victims of Saturday's attack in London Bridge, at Potter's Field Park in London, Monday, June 5, 2017. Police arrested several people and are widening their investigation after a series of attacks described as terrorism killed several people and injured more than 40 others in the heart of London on Saturday. (AP Photo/Tim Ireland) Britain London Bridge Attack

ROYAUME-UNI
Deux jours après l’attaque revendiquée par l’Etat islamique qui a fait sept morts et une cinquantaine de blessés à Londres, l’opposition, qui réclame la démission de la première ministre Theresa May, dénonce la baisse de 22% du budget de la police. Un des djihadistes avait été signalé aux autorités. L’attentat de samedi est le troisième en trois mois outre-Manche.

Le choc et l’émotion ont cédé la place aux polémiques. Deux jours après l’attentat du London Bridge, qui a fait sept morts et 48 blessés, samedi, et trois jours avant les élections législatives britanniques, on commence à pointer du doigt des responsabilités politiques et celles des autorités. Mises en cause, l’austérité budgétaire, d’une part, et le laxisme des services de renseignement, d’autre part.

Theresa May, ministre de l’Intérieur pendant six ans avant d’arriver à Downing Street, fait face à un feu nourri de critiques sur la baisse de 22% du...

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