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Mandat d’arrêt international contre Carlos Ghosn

Le Japon a réagi, après trois jours, à l’évasion de l’ex-patron de Renault-Nissan.

03 janv. 2020, 00:01
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Le Japon, mis à l’arrêt par les congés du Nouvel An, aura mis trois longues journées à réagir à l’évasion rocambolesque de Carlos Ghosn le plus célèbre de ses prévenus. L’ex-patron de Renault-Nissan, a atterri à Beyrouth lundi dernier à l’aube après l’évasion de sa résidence surveillée.

Officiellement, les autorités, à Tokyo, ne commentent pas cet événement qui fait perdre la face au pays. Aucun ministre n’a encore pris la parole. Le pays brille par son absence dans le sujet de conversation le plus «japonais» de la planète. Et la justice nippone s’est de toute façon fait doubler sur le terrain de la communication, puisque c’est Carlos Ghosn lui-même qui, le premier, a pu révéler sa propre fuite.

Mais la machine judiciaire s’est enfin mise en branle. Interpol, sur demande du Japon, a émis une notice rouge, c’est-à-dire un mandat d’arrêt international. Le bureau des forces de sécurité libanaises...

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