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Pékin envisage de lâcher Carrie Lam

Le remplacement de la cheffe exécutive de l’île, l’an prochain, irait de pair avec une répression contre les manifestants.

24 oct. 2019, 00:01
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La «dame de Fer» d’Hong Kong risque de quitter, avant la fin de son mandat (en 2022), la résidence surplombant la baie de l’ancienne colonie britannique. Après cinq mois de manifestations, Carrie Lam, sur un siège éjectable, pourrait être remplacée par Pékin, en quête d’une sortie de crise, affirme le «Financial Times». Le pouvoir central envisage de lâcher la bureaucrate, à l’origine des manifestations qui enflamment la plaque tournante financière asiatique depuis juin, selon des sources proches du dossier.

Carrie Lam serait remplacée par un chef exécutif «par intérim», si le président chinois Xi Jinping donne son feu vert. Le ministère chinois des Affaires étrangères a démenti les propos du quotidien britannique, parlant d’une rumeur lancée avec des arrière-pensées politiques.

Une ultime gifle

Si l’hypothèse se confirme, le dirigeant désigné par le régime pourrait prendre ses fonctions en mars, avec l’espoir de reprendre la main sur la cité de...

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