Le Premier ministre russe Dmitri Medvedev a estimé vendredi que les deux jeunes femmes du groupe Pussy Riot, condamnées à deux ans de camp pour une prière anti-Poutine dans une cathédrale, ne devraient pas être en prison, selon les agences russes.
"Si j'avais été juge, je ne les aurais pas mises en prison. Tout simplement parce que je trouve que ce n'est pas juste qu'elles soient privées de liberté. Elles ont déjà passé assez de temps en prison comme ça, ça suffit", a-t-il déclaré.