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Sommet climat: l’heure d’Antonio Guterres

Le secrétaire général de l’ONU, peu efficace en gestion des crises, se passionne pour le défi environnemental.

24 sept. 2019, 00:01
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C’est son heure: hier à New York, Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, accueillait au siège de l’organisation un sommet mondial sur l’urgence climatique réunissant 70 Etats. L’ancien premier ministre socialiste portugais et patron du Haut-Commissariat aux réfugiés s’est jeté à corps perdu dans le défi environnemental. Il a passé la surmultipliée, ces derniers mois, pour imposer aux Etats participants le principe d’une neutralité carbone d’ici à 2050, impliquant une réduction maximale des émissions polluantes et des plantations massives d’arbres pour compenser le reliquat de carbone dans l’air.

Pour le reste de la semaine dite «de haut niveau», consacré aux déclarations des chefs d’Etat et de gouvernement à la tribune de l’Assemblée générale, Guterres affecte un rôle plus discret. Depuis son intronisation à Turtle Bay, en 2017, il présente un terne bilan en matière de gestion des crises. Echec à Chypre, fiasco en Libye, impuissance en Syrie, petits...

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