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Sous le feu des critiques au G20, Poutine nargue les Occidentaux

L'homme fort de la Russie a prétexté son besoin de sommeil pour quitter en avance un sommet aux relents de Guerre froide.

17 nov. 2014, 00:01
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SOLENN DE ROYER

Le G20 se sera terminé comme il avait commencé: par des tensions aux accents de Guerre froide. Au centre de toutes les critiques pendant deux jours, Vladimir Poutine a décidé de quitter Brisbane avant le déjeuner de travail et le communiqué final, censés clore le sommet. Exclu du G8 au printemps, le président russe a été accueilli froidement par ses pairs, réunis samedi et hier dans cette ville sans âme de l'est de l'Australie pour un G20 consacré à la croissance, à la régulation financière et au climat.

Une pluie de critiques

Les leaders occidentaux reprochent à Moscou son rôle dans une crise ukrainienne qui s'envenime. Le premier ministre australien, Tony Abbott, avait donné le ton dès vendredi, reprochant au Russe de vouloir restaurer "la gloire perdue du tsarisme ou de l'Union soviétique". Quant au Canadien Stephen Harper, il n'a pas mâché ses mots: "Je n'ai qu'une...

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