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Un an après l’entrée en guerre, le Kremlin conforté dans sa stratégie

Si la Russie est plus que jamais sous le feu des critiques occidentales, elle reste déterminée.

30 sept. 2016, 00:24
In this photo provided by the Syrian Civil Defense White Helmets, rescue workers work the site of airstrikes in al-Mashhad neighborhood in the rebel-held part of eastern Aleppo, Syria, Wednesday Sept. 21, 2016. Ibrahim Alhaj, a member of the volunteer first responders known as the Syria Civil Defense, said 24 people were killed in a series of bombings in several parts of the besieged city Aleppo on Wednesday. (Syrian Civil Defense White Helmets via AP) Mideast Syria

Un an après son entrée en guerre en Syrie, la Russie est plus que jamais sous le feu des critiques occidentales, mais reste toujours aussi déterminée. Le Kremlin a une nouvelle fois rejeté la responsabilité de la rupture du cessez-le-feu sur l’armée américaine qui, aux premiers jours de la trêve, avait bombardé «par erreur» les troupes régulières syriennes, avant d’échouer à faire pression sur l’opposition modérée.

«Nos partenaires aux Etats-Unis se sont révélés incapables d’influencer la situation», en conséquence de quoi «Moscou poursuit son opération aérienne en soutien à la lutte antiterroriste des forces armées syriennes», a déclaré, hier, le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, utilisant une rhétorique similaire à celle de Damas. Après quelques jours de flottement, le temps de la riposte médiatique est venu à Moscou, marquant, après un an de relative accalmie et de coopération, un nouveau point d’orgue dans le confit entre...

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