L'apparition de cet appareil, sur laquelle les autorités belges n'ont donné aucun détail, rappelle une série de faits similaires survenus en octobre et novembre au-dessus de centrales nucléaires françaises.
Le réacteur nucléaire de Doel 4, l'un des sept que compte le pays, a été redémarré vendredi. Il avait été arrêté le 5 août à la suite d'une fuite d'huile provoquée, selon l'expoitant Electrabel, par un sabotage.
En une demi-heure, 65'000 litres d'huile s'étaient échappés. La turbine à vapeur, qui tournait dès lors "à sec", avait subi d'importants dégâts.
Le parquet fédéral, notamment chargé des affaires de terrorisme et de sécurité nucléaire, n'a donné aucune indication sur l'avancement de son enquête.