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Une attaque décidée en Syrie et organisée en Belgique

Alors que Salah Abdeslam, rescapé présumé des kamikazes, est recherché, les policiers auraient retrouvé l’appartement conspiratif des commandos.

16 nov. 2015, 23:17
/ Màj. le 17 nov. 2015 à 00:01
epa05028438 A muslim man is praying while people lay flowers and candles in front of the memorial set near the Bataclan concert venue in Paris, France, 16 November 2015. More than 130 people were killed and hundreds injured in the terror attacks which targeted the Bataclan concert hall, the Stade de France national sports stadium, and several restaurants and bars in the French capital on 13 November. Authorities believe that three coordinated teams of terrorists armed with rifles and explosive vests carried out the attacks, which the Islamic State (IS) extremist group has claimed responsibility for.  EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON FRANCE  PARIS ATTACKS AFTERMATH

A mesure que progresse l’enquête éclair portant sur les attentats qui ont foudroyé, vendredi dernier, le cœur de Paris et le stade de France, les limiers de la Direction générale de la sécurité intérieure et de la Brigade criminelle française précisent les contours des trois commandos coordonnés qui ont semé la mort et l’épouvante. Avec méthode, ils sont parvenus à identifier cinq des kamikazes qui ont péri dans une équipée se soldant par un bilan encore provisoire de 129 morts et 352 blessés, dont plusieurs dizaines en «urgence absolue».

Et le pire des scénarios, tant redouté, met en scène des profils «dormants» et sans relief, de petits voyous et d’illuminés en apparence parfaitement insérés. Jamais le spectre glaçant d’un terrorisme dilué dans tous les pores de la société n’a autant pris corps.

Conducteur de bus, boulanger, malfrat...

Ainsi, Samy Amimour, 28 ans, un des trois kamikazes qui ont ensanglanté le...

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