Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Violences au Capitole: quand «l’Amérique a perdu le nord»

Derrière les images chaotiques des événements de Washington de mercredi se dessine celle de la présidence de Donald Trump.

08 janv. 2021, 00:01 / Màj. le 08 janv. 2021 à 07:17
C'est à la fois l'image de la présidence Trump et celle de la démocratie modèle américaine qui se  sont cristallisées mercredi.

«L’Amérique a perdu le nord. Elle n’a pas le droit d’imposer de cap à qui que ce soit. La fête de la démocratie est terminée!» Un haut responsable du Parlement russe cachait à peine sa jubilation, hier, devant les images de désolation venues de Washington. Réaction assez similaire en Iran, où le président Hassan Rohani a estimé que ces événements montrent que la démocratie occidentale est «fragile et vulnérable».

A lire aussi : Etats-Unis: la fin de règne en roue libre du président Donald Trump

Au sein des autres régimes autoritaires en conflit avec la présidence de Donald Trump, le journal officiel chinois «Global Times» n’a pas hésité à récupérer l’intrusion de manifestants dans le Capitole, en la comparant ironiquement à celle des militants pro-démocratie dans le Parlement de Hong Kong en 2019. Plus prudents, les Européens ont condamné des «scènes honteuses» (Boris Johnson), ou exhorté à ne rien...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias