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William et Kate aux îles Salomon en toute quiétude

Le prince William et son épouse Kate se sont rendus dans un coin reculé des îles Salomon. Dans le même temps, l'hebdo italien "Chi" a sorti un numéro spécial lundi des photos seins nus de Kate.

17 sept. 2012, 11:37
William et Kate sont arrivés lundi aux îles Salomon.

Le prince William et son épouse Kate se rendront lundi dans un coin reculé des îles Salomon à bord d'un canoë, alors que leurs avocats doivent demander à la justice française d'interdire au magazine "Closer" de diffuser des clichés de Kate seins nus. L'hebdo italien "Chi" a sorti un numéro spécial lundi.

"Ce pays est le plus bel endroit qu'on puisse imaginer et les habitants des îles Salomon sont parmi les plus agréables et les plus sympathiques que nous ayons rencontrés", a déclaré le prince dimanche soir dans un discours. William portait une chemise traditionnelle de cet archipel de l'Océanie.

William et Kate, très souriants, ont été accueillis par le Premier ministre de cet Etat du Commonwealth, Gordon Darcy Lilo, avant de visiter un village en présence d'une foule nombreuse.

Le couple s'est ensuite séparé. William a prononcé un discours consacré à la jeunesse, où il a affirmé que le Commonwealth était "plus pertinent que jamais", avant de taper dans un ballon de football avec des enfants du coin.

Catherine, vêtue d'une robe jaune canari, s'est rendue dans une association pour les femmes, où elle a reçu un gâteau, comme la reine Elizabeth avant elle lors d'une visite aux Salomon en 1974. Les deux jeunes mariés se sont ensuite retrouvés pour un déjeuner en faveur d'associations caritatives des îles Salomon.

Le couple a ensuite pris l'avion pour l'île de Marau, où ils recevront l'accueil traditionnel des chefs de l'île, avant de se rendre par bateau vers une autre île, Marapa. De là, ils emprunteront un canoé de guerre pour passer la nuit de lundi à mardi sur l'îlot paradisiaque de Tavanipupu, aménagé dans les années 70 par un décorateur anglais, Dennis Bellote.

Plainte pénale

Pendant ce temps en France, les avocats du couple doivent déposer lundi soir une plainte au pénal, qui s'ajoutera à une procédure civile déjà entamée contre le magazine français "Closer".

Selon une source proche du dossier, les avocats du couple réclameront que "Closer" ait interdiction de rééditer son numéro et surtout qu'il ne puisse pas céder ou diffuser les photos qui ont outré les Britanniques, ceci valant pour internet, notamment pour le site internet de "Closer".

Les services du prince ont confirmé dimanche qu'au cours de cette audience, William, second héritier dans l'ordre de succession au trône, et son épouse ne demanderaient pas de dommages et intérêts pour ces photographies.

"Closer" a publié vendredi dernier cinq pages de photographies prises au téléobjectif, au moment où le couple séjournait dans une demeure privée du sud de la France. Ces clichés ont provoqué l'ire de Kate et de son époux.

Tabou levé en Italie

Les photos de Kate ont également été publiées lundi par le magazine italien "Chi" qui a consacré au total 26 pages à la duchesse de Cambridge, avec pour titre de Une "La Reine est nue".

"Kate Middleton - Scandale à la cour !" titre encore "Chi" sur fond de trois photos. La plus grande montre Kate topless derrière la balustrade d'une terrasse, la seconde en train d'enlever son haut, et la troisième en train de mettre de la crème solaire sur les épaules de William. Les photos sont un peu floues.

Au début du numéro, le directeur de la revue, Alfonso Signorini, annonce un "reportage extraordinaire: pour la première fois, la future reine d'Angleterre apparaît de manière naturelle, sans les contraintes liées à l'étiquette", écrit-il.

"Aujourd'hui, ceux qui crient au scandale sont encore liés à l'idée d'une monarchie faite d'hommes et femmes parfaits, non humains", se justifie M. Signorini. L'hebdomadaire propose également un article qui s'interroge sur "Le sein de Kate: naturel ou refait?"

Marina Berlusconi, la fille de l'ex-chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi et présidente de la maison d'édition Mondadori, a défendu dimanche la décision des revues du groupe de publier ces photos, en mettant en avant "la liberté" et "l'autonomie".

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