«En mai, on se posait vraiment la question: est-ce qu’on va ouvrir ou non?» se rappelle Blaise Hofmann, l’un des six initiateurs de La Coquette. Un petit mois plus tard, les organisateurs étaient gonflés à bloc, plus déterminés que jamais à faire revivre le bar éphémère au parc de l’Indépendance pour la troisième année consécutive. Et ce, malgré les restrictions et les barrières imposées par la crise sanitaire. «On pensait qu’on ouvrait à perte», poursuit l’écrivain.
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Près de trois mois plus tard, le constat est bien différent. «Côté chiffres, on est au moins aussi bien que l’an dernier», se réjouit Blaise Hofmann. En créant une bulle conviviale et culturelle au bord du lac, l’association a mis des couleurs dans un été qui s’annonçait un peu morose. A Morges, les amateurs de musique live ont pu assister à...