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A Saint-Livres, les récupérateurs du vallon de l'Aubonne sont sur la sellette

Le canton met fin aux activités de récupération des Bandel au bord de l’Aubonne. Une décision qui les condamne à l’indigence.

26 sept. 2017, 17:12
/ Màj. le 27 sept. 2017 à 06:30
Franck, Aloïs et Christophe Bandel soudés face à l’adversité.

Le vallon de l’Aubonne va-t-il perdre l’âme de ses récupérateurs? Depuis maintenant plusieurs mois, Aloïs Bandel et deux de ses fils, Franck et Christophe, ont l’interdiction de pratiquer leurs activités de récupérateurs dans leurs locaux du vallon de l’Aubonne. Ils devaient avoir rendu place nette le 12 septembre.

Le verdict émane du canton qui le justifie par la protection de la forêt et de la rivière, qui coule à deux pas de leurs activités (récupérer, trier, réparer et démonter tout type d’objet). «On veut bien arrêter d’exploiter les lieux, mais il nous faut un autre endroit pour travailler. Sur La Côte, les loyers sont démesurés et partir plus loin engendre des charges trop lourdes pour une petite entreprise comme la nôtre. Et c’est sans compter sur la réticence des communes sur notre activité», constate Franck Bandel.


"Il nous faut un autre endroit pour travailler. Sur La Côte, les loyers sont...

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