Tel un papillon, dont elle aime désormais parsemer toutes ses œuvres – écrits, jeu, chansons – Anna Berti est sortie de sa nouvelle chrysalide et a pris son envol, prête à entamer une nouvelle étape de sa vie, du haut de ses 57 ans. Une transformation – la Buchillonnaise parle volontiers de résilience ou de renaissance – qu’elle dévoile dans son autobiographie, «romancée» dit-elle, parue récemment.
Et une identité réaffirmée. Pour ce cinquième ouvrage, Anna Berti signe – et le symbole est fort – pour la première fois de ses vrais prénom et nom, alors qu’auparavant elle utilisait un pseudonyme.
Un message d’espoir
Dotée de deux titres, «Trop pour une seule vie» et «A la recherche de mes printemps», l’autobiographie, au-delà du partage d’un vécu intense, se veut un formidable message d’espoir. «Rien n’est impossible, déclare-t-elle. On peut connaître de nouveaux printemps quel que soit l’âge ou les épreuves, il...