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Comment en est-on arrivé là?

La galère se cherche un nouveau port d’attache. L’occasion de revenir sur une croisière jalonnée d’écueils.

06 avr. 2018, 00:01
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C’est officiel depuis la fin de la semaine dernière: la galère quitte La Coquette. Faute d’avoir trouvé une solution en collaboration avec la ville, l’association lémanique Galère «La Liberté» a décidé de lever l’ancre et cherche une nouvelle «maison» pour son bijou de cent nonante tonnes. Sur les réseaux sociaux, les habitants expriment leur désarroi face au départ de ce qui était devenu un symbole morgien: alors, comment en est-on arrivé là?

L’idée un peu folle de la construction d’un tel bâtiment flottant est née en 1992 dans la tête de Jean-Pierre Hirt, alors secrétaire syndical régional pour l’Est vaudois. «C’était une période de crise, le taux de chômage était très élevé. Comme je connaissais l’histoire du lac, j’ai proposé pour occuper les demandeurs d’emploi de construire la pièce manquante au patrimone lémanique: la galère», rappelle l’intéressé. Deux ans plus tard, l’association liée était créée. Au total, ce...

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