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Cossonay: une campagne anticrottes qui a du chien

La commune piquette régulièrement les déjections de chien qui salissent son territoire pour sensibiliser les maîtres à ce fléau. A Morges, on mise sur la communication, avant d’appliquer des sanctions.

15 nov. 2019, 19:42
C'est Alain Martin (à g.), ancien responsable de la voirie, qui a lancé la première campagne anticrottes de chien à Cossonay, il y a dix ans. Son successeur, Luc Lodari, a repris le flambeau.

«C’est pas ma faute à moi», semblait vouloir dire le bouledogue qui affichait son arrière-train sur une centaine de petits fanions, il y a un mois à Cossonay. Cabotin, l’animal s’illustrait à côté de chaque crotte non ramassée. Dans cette commune du pied du Jura, la voirie a en effet opté pour une méthode toute particulière, afin de sensibiliser les propriétaires de chiens à l’importance d’éliminer les déjections de leur protégé. Régulièrement, elle lance des opérations de planter du drapeau, pour marquer les esprits.

Si le sujet peut prêter à sourire, il n’en demeure pas moins un véritable fléau pour les employés communaux, surtout lorsqu’ils doivent entretenir les surfaces herbeuses qui bordent les routes. «Quand on utilise des débroussailleuses, ça gicle sur les pantalons, et même le visage. Vous ne vous rendez pas compte, c’est infernal!», détaille Alain Martin, ancien responsable de la voirie à Cossonay. C’est lui qui, il...

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