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Echandens: huit mois pour peaufiner son cosplay

Ce week-end, les fans du Japon et de sa culture se retrouveront sur le site de l'EPFL à Ecublens. Rencontre avec une adepte du cosplay.

13 févr. 2014, 17:15
Gaëlle Clément a travaillé depuis mai 2013 sur son cosplay à l'effigie d'Aion, une gladiatrice, tirée du jeu video Aion.

Sous ce nom loufoque, tout droit sorti du cerveau des Japonais, se marient les termes costume et player (joueur en français). L’activité consiste à se déguiser comme le héros d’un manga, d’un film ou d’un jeu vidéo, tout en réalisant soi-même chaque pièce du costume. Parmi les adeptes de la région qui suent sang et eau depuis quelques mois: Gaëlle Clément, 28 ans. Comme d’autres, elle s’apprête à présenter un costume digne de ce nom au grand concours de cosplay, qui aura lieu ce week-end, lors de l’exposition sur le Japon à l’EPFL.

Il y a trois ans, cette habitante de Renens participait à sa première convention sur le Japon. Fascinée par les atours qu’elle y a vu et passionnée par les mangas, elle s’est prise au jeu. Aujourd’hui, la jeune ébéniste a à son actif pas moins de six cosplays créés dans son atelier à Echandens. «Ce que j’aime, ce sont surtout les guerrières. La difficulté est supplémentaire car, en plus du costume, il faut reproduire des armes», explique-t-elle.

Ce loisir demande aussi un grand investissement de temps et d’argent, selon le degré d’aboutissement de la tenue. «Franchement, ça vaut le coup, car, lors de la convention, on passe une journée exceptionnelle. Le cosplay interpelle les gens, les impressionne, et nous sommes sans arrêt sollicités par la foule pour prendre des photos. On est fier de pouvoir présenter notre travail, et on se sent comme une star», affirme-t-elle.

L'article complet est à lire dans "La Côte" de vendredi 14 février.
 

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