Catherine McKeever, vous viviez à Dubaï avant de vous installer à Saint-Prex. Comment gérez-vous ce grand changement?
"Assez bien. J’étais heureuse de venir m’installer en Suisse et de vivre dans un milieu calme entre lac et montagne. Si j’ai beaucoup aimé vivre à Dubaï, le climat ne me permettait pas de sortir pendant six mois. Ici ça change beaucoup et j'ai la possibilité d'aller skier... sur de la vraie neige!" (rires)
A l’ouverture de l'établissement en 2013, une cinquantaine d'élèves étaient inscrits. Ou en êtes-vous aujourd'hui?
"Nous comptons aujourd'hui 255 élèves, âgés de 3 à 18 ans, domiciliés entre Nyon et Lausanne. En une année, nous avons enregistré 30 pour cent d’inscriptions en plus, ce qui est très prometteur. A terme, l’école a pour objectif d’en accueillir jusqu’à 650."
Votre école, comme d'autres, est éloignée du centre du village. Que faites-vous pour vous mêler à la vie locale?
Il est important de connaître notre entourage, même si nous avons cette vocation internationale. Afin de se mêler à la vie extérieure, des projets en rapport avec la région, appelés «Service Day», sont organisés chaque année afin de réaliser des sorties de charité. A titre d'exemple, les élèves ont aidé bénévolement le personnel de l’Espérance et de l’EMS du Pacific, à Etoy.
Pour découvrir l'intégralité de l'entretien avec la nouvelle directrice de la GEMS World Academy Switzerland, rendez-vous dans nos éditions papiers et numériques de demain 31 janvier 2017.