Touchée en plein cœur lorsqu’elle apprend en 2015 que son insuffisance rénale aiguë va bientôt lui être fatale, Annie Hochstadter est désormais «greffée à la vie». C’était le 21 février 2017. Son cousin lui donnait «le plus beau des cadeaux qui soient au monde» en lui faisant don d’un rein.
«Je lui suis reconnaissante à vie car il a sauvé la mienne», confie la Fezzolane. Entre «la mort qui l’attendait toute proche» et le retour à la vie grâce à la transplantation de l’organe salvateur, le cheminement est forcément semé d’embûches, d’émotions en dents de scie et de questionnements sans fin.
Un livre pour l’exemple
C’est ce récit de vie qu’Annie Hochstadter a souhaité partager dans «Greffée à vie», publié à compte d’auteur avec une préface de Myret Zaki, ancienne rédactrice en chef du magazine économique Bilan, qui en a assuré la relecture. «J’aurais aimé avoir un tel ouvrage en...