Condamné en juin à 80 jours-amende à 1000 francs par jour, le condamné s’estime victime d’acharnement judiciaire.
Pourtant, construire comme on veut, où on veut et quand on veut a un coût. Un coût qu'il estime trop élevé. Par son avocat, il demande à ce qu'une peine assortie du sursis lui soit infligée. Le Ministère public, directement mis en cause puisque le condamné soupçonne la justice d'être partiale, a requis, quant à lui, une augmentation du montant du jour-amende à 1500 fr.
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