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L’Allemagne, au-delà des clichés

Photographe à son compte, Rainer Sohlbank a quitté Munich pour vivre l’amour en terres vaudoises.

09 oct. 2017, 00:36
Villars-sous-Yens, lundi 11 septembre 2017
Portrait de l'allemand Rainer Sohibank, pour la rubrique Communauté, à Villars-sous-Yens

© Sigfredo Haro Portrait Rainer Sohibank, Villars-sous-Yens

sophie erbrich

info@lacote.ch

«Ce qui m’a poussé à quitter l’Allemagne? C’est l’amour, annonce d’emblée Rainer Sohlbank. Vous savez, ma femme et moi sommes des dinosaures en longévité de mariage», poursuit-il en riant. En effet, il y a exactement 41 ans, Rainer Sohlbank apprenait d’un ami qu’une jeune Suissesse était arrivée comme fille au pair dans un village bavarois voisin. D’après ce qu’il en savait, elle pourrait bien lui plaire. Le jeune homme s’est arrangé pour la rencontrer et ça a été le coup de cœur. Les amoureux ne se sont plus quittés depuis ce moment. Après avoir vécu d’abord en Allemagne, ils se sont installés en 1981 à Crissier, puis à Echandens, à Renens et enfin à Villars-sous-Yens, après y avoir trouvé «la maison du bonheur» qu’ils cherchaient. Il est vrai que leur habitation dégage un charme fou, avec sa cour, ses vieilles pierres et son jardin de...

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