«Chaque filiale en partenariat doit obtenir ses revenus de ses activités propres et doit réussir à exister sur le marché, par exemple en tant que pharmacie ou boutique de village. La Poste ne veut ni ne peut financer des structures, mais entend s’acquitter des prestations réellement fournies», indique Tiziana Boebner, responsable de la communication du géant jaune pour les cantons de Vaud et de Fribourg.
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Dont acte. L’ex-régie fédérale a revu le modèle de rétribution de ses partenaires. C’en est fini, ou presque, des rémunérations fixes qui couvraient la majeure partie des prestations de la filiale. «Ce montant de base fixe continuera d’exister, mais La Poste s’appuie de plus en plus sur l’indemnité de chiffre d’affaires et à la pièce», poursuit la porte-parole.