«C’est une décision mûrement réfléchie et nous l’assumons. Nous avons voulu provoquer un électrochoc. Pour des questions de sécurité, il y a des comportements qui ne sont plus tolérables. Et je peux vous assurer que depuis trois semaines, le calme règne», déclare la Présidente de l’association de la piscine de la Venoge, Nathalie Cand.
Une feuille mentionnant l’interdiction d’entrée jusqu’à la fin du mois de juillet d’un mineur avec son nom, sa date de naissance et sa commune de domicile avait été affichée à la caisse de la piscine de La Sarraz avant d’être retirée la semaine dernière. «Nous avons des personnes qui nous ont indiqué qu’elles étaient choquées par ce procédé, mais beaucoup nous ont dit que nous avions bien fait», poursuit-elle.
Insultes, incivilités, non-respect des règles de sécurité… «Par temps de canicule, le dimanche, la piscine...