samantha lunder
samantha.lunder@lacote.ch
Un, deux, sept, vingt filles et garçons entrent en piste pour se positionner sur l’estrade. A l’américaine, ils portent les couleurs de leur équipe: «Freaky Hornets», «Blue Angels» ou «Sparkling Jaguars», peut-on lire sur leurs débardeurs. La musique démarre, leur chorégraphie peut débuter. Les premiers mouvements s’enchaînent, les filles s’envolent à trois mètres de hauteur. Sur les visages, aucun signe de fatigue. C’est avec un grand sourire que chacun exécute ses quelques minutes de prestation face au jury. Car parmi les équipes qui sont en train de concourir, une sera qualifiée pour participer aux championnats du monde de cheerleading, en avril à Orlando: «Les gens voient ça comme une animation de terrain, mais c’est maintenant un sport à part entière, explique Joëlle Krummenacher, fondatrice de la compétition de ce week-end. Il a été reconnu par le comité olympique en décembre 2016. Les athlètes commencent à...